Le Giro pourrait commencer en Australie en 2027

Les départs des grands tours à l'étranger semblent échapper à tout contrôle. C'est du moins la conclusion à laquelle on peut arriver après les déclarations d'un journaliste australien expliquant que RCS et différentes villes d'Australie seraient en discussions pour réaliser le Grand Départ le plus éloigné de l'histoire.

Le Giro d'Italia pourrait chercher à relever encore plus le défi avec un départ aux antipodes

Ces dernières années, les départs des grands tours hors de leur pays d'origine sont devenus monnaie courante. Les premières étapes qui apportent le spectacle de ces courses à un autre type de public, qui les accueille avec une passion énorme et qui, en passant, rapporte d'importants bénéfices à l'organisateur.

Il y a quelques jours, nous avons vu le Giro d'Italia commencer son parcours en 2025 en Albanie, et il y a quelques jours, un journaliste australien a révélé que RCS, l'entreprise organisatrice du Giro d'Italia, serait en discussions pour emmener la course en Australie, plus précisément dans les environs de la ville de Perth, bien que, apparemment, Melbourne ou Sydney pourraient également être intéressées par l'accueil de l'épreuve.

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Le départ du Giro d'Italia depuis Israël en 2018 semblait être le summum, cependant, cela dépasse tout ce qui était imaginable, surtout en raison des énormes difficultés logistiques que représenterait le déplacement de toute l'organisation de la course entre des points aussi éloignés de la planète.

Interrogé à ce sujet, Mauro Vegni, directeur du Giro d'Italia, ne ferme aucune porte : "C'est difficile du point de vue pratique et logistique, mais nous ne disons non à personne d'avance", tout en reconnaissant l'intérêt des autorités de ces villes à accueillir le Giro d'Italia sur leur territoire.

Bien sûr, tout cela ravive le désir tant attendu des fans espagnols de voir La Vuelta revenir aux îles Canaries après un départ désastreux dans ces terres lors de l'édition de 1988. Un rêve longtemps caressé par Javier Guillén mais qui, pour diverses raisons, malgré le fait que cela soit discuté chaque année, ne se concrétise jamais.